vendredi 24 décembre 2010

Millénium (tomes 1, 2, 3) - Stieg Larsson

Les hommes qui n'aimaient pas les femmes
Mikael Blomkvist quitte la revue Millénium après avoir perdu un procès pour diffamation. Erika Berger, sa maîtresse, mais également directrice de la revue, le soutient malgré tout.
Appelé à enquêter sur la disparition mystérieuse d'une jeune femme il y a trente ans (probablement assassinée), il se rend sur l'île où elle vivait. Il y rencontre Lisbeth Salander, jeune, rebelle, perturbée, placée sous contrôle social. Ils mettent à jour haines familiales, scandales et meurtres (au pluriel) !


La fille qui rêvait d'un bidon d'essence
Mikael, qui a réintégré Millémnium, va publier un numéro spécial sur la prostitution des filles exportées d'Europe de l'est. Il retrouve sur son chemin Lisbeth. Elle échappe de peu à une agression programmée.
Puis, deux personnes qui enquêtaient pour Millénium sont assassinées. La police, les médias vont traquer Lisbeth, coupable toute désignée. Mais qui était cette gamine attachée sur un lit, exposée aux caprices d'un maniaque et qui survivait en rêvant d'un bidon d'essence et d'une allumette ?

La reine dans le palais des courants d'air
Lisbeth n'est pas morte. Mais elle va très mal.  D'autant plus que pèsent sur elle diverses accusations qui la font placer en isolement par la police. Et un très gros ennui : son père, qui la hait et qu'elle a frappé à coups de hache, se trouve dans le même hôpital, un peu en meilleur état qu'elle... Mikael blomkvist veut publier un dossier sur les secrets d'état et veut, aussi, blanchir Lisbeth.


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Je ne pensais pas pouvoir lire aussi vite. Mais si. C'est tellement prenant, tout arrive à une vitesse folle. Tout se bouscule. On découvre de nouveaux personnages. On pousse les portes. On fait "Ouah". On fait "Beurk". J'ai retenu mon souflle, attendu, accéléré... et tourné les pages encore et encore.
Une semaine pour lire les trois volumes (bon j'étais en vacances aussi).
Un manque cruel de la suite pointe parfois le bout de sa ligne. J'ai rarement ressenti cela.

Merci Stieg Larsson.

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